Vous êtes ici : Accueil » Découvrir » Patrimoine de nos communes

Patrimoine de nos communes

De nombreux petits châteaux, manoirs et églises remarquables composent le patrimoine de nos communes. De différentes époques, il suffit de se balader autour de Pont-Audemer et de sillonner le Val de Risle pour les apercevoir. Parmi ceux-ci, voici quelques édifices qui méritent un détour…

 

Il est possible d’apercevoir la plupart ces témoignages du passé qui composent le patrimoine de nos communes en effectuant nos circuits auto ou l’une de nos nombreuses randonnées.

Découvrir la Vallée de la Risle :

Le château médiéval de Montfort-sur-Risle

Patrimoine de nos communes Château médiéval Montfort sur Risle

Cette forteresse médiévale, située à proximité de la Forêt domaniale de Montfort-sur-Risle, fut érigée par les Hugues de Montfort entre le XIème et le XIIème siècle. Le site est en accès libre toute l’année et offre un magnifique point de vue sur la vallée de la Risle.
Pour découvrir ce site, vous pouvez visiter la page consacrée au château médiéval de Montfort-sur-Risle, télécharger le dépliant qui lui est consacré ou effectuer le circuit de l’Héritage Médiéval

 

Le château La Motte, deuxième château de Montfort-sur-Risle

Patrimoine de nos communes Vue chateau La Motte dans la brume©AsOTVR

L’ancien fief de La Motte tire son appellation, comme beaucoup d’autres, du fait que son manoir seigneurial était ceint de douves creusées à même la prairie. Édifié au XVème siècle, il n’a conservé de cette époque que les deux tours en pierre, respectivement colombier et chapelle, situées aux flancs de l’entrée actuelle.
Découvrez le château La Motte en effectuant le circuit proposé dans le dépliant « À la découverte de Montfort-sur-Risle »

Les autres châteaux et manoirs autour de Pont-Audemer et dans le Val de Risle (propriétés privées)

Patrimoine de nos communes Le Château de Brumare à Brestot

Sur la commune de Bonneville-Aptot, vous pourrez apercevoir le château de Brenon (XVIIIème) ainsi que le château d’Appetot (XVIIème). À Brestot, sont édifiés le château de Brumare (XVIIème et XVIIIème), le manoir du Quesney (XVIème) et le manoir des Roussettes (XVIIème). À Écaquelon, se situent le château du Bois-Héroult (fin XVIIème début XVIIIème), le manoir de la Hénnière (XVIIème – XVIIIème) et le manoir de la Ferté (XVIIIème). Le château de la Court (XVIème) est situé sur la commune de Saint-Philbert-sur-Risle. Vous apercevrez le château de Sainte-Honorine (milieu XVIIIème) à Freneuse-sur-Risle et le château de Sahurs (fin XVIIIème) à Glos-sur-Risle.

À Côté de Pont-Audemer vous apercevrez à Campigny le château de la Pérelle, situé à la Viéville et le manoir du Réel qui surplombe la vallée de la Véronne. À Colletot, se trouve le château de l’Épine (XVIème). À Fourmetot, découvrez le château du Hamel (XVIème), le manoir de la Croisée et son superbe porche du XVIIème. Le château de Freville (XVIIème) est situé sur la commune de Manneville-sur-Risle ainsi que le manoir de Thibouville. Le château de la Motte et le château Loriot sont situés à Saint-Germain-Village. Vous apercevrez le château de Lillebec à Pont-Audemer. De nombreux manoirs et châteaux sont présents sur la commune de Tourville-sur-Pont-Audemer : Le manoir du Réel, le manoir de la Bergerie, le château de la Bivellerie, le château de la Boulaye sans oublier le château du lycée agricole de Tourville.

Dans le Roumois, à Rougemontiers, vous pourrez voir  le Château au Tremblay et celui aux Labbes. A Routot sont édifiés l’ancien manoir de Prémare (XVIe), un château des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Roumois ainsi que trois manoirs des XVIe siècle et XVIIIe siècle,  situés au lieu-dit Croix-Coq et le troisième du XVIIIe siècle situé au lieu-dit Trouville.

Saint Thurien est connue pour le château de Saint-Thurien (XIXe) et un manoir du  XVIe siècle. A Saint Ouen des Champs , découvrez un manoir du XIIe siècle au lieu-dit Le Vivier et le Manoir des Rois du XIIIe siècle.  Ces communes se sont regroupées pour n’en former plus qu’une appelée “Le Perrey”, avec la commune de Fourmetot.

A Bouquelon, découvrez le domaine du château du Plessis. Enfin, à Saint Samson de la Roque, vous apercevrez  le château de la Chevalerie (XVIIIe et XIXe) et le manoir de Tinnetot (XVIIIe).

Le Prieuré de Saint-Philbert-sur-Risle

Patrimoine de nos communes Prieuré Saint-Philbert3©AsOTVR

Fondé au XIème siècle par Robert de Montfort, le site fût d’abord érigé en collégiale avant de devenir un prieuré au XIIème siècle. Tous ses droits furent alors exercés par l’abbaye du Bec et le vicaire de Saint-Philbert desservit la chapelle attenante à l’église paroissiale. Aujourd’hui, le Prieuré est un bien communal. Il ne reste que des vestiges des murs d’enceinte avec un beau portail, un colombier-four à pain et un bâtiment de style normand parfaitement restaurés.
Le site du Prieuré est en accès libre. Pour visiter son église, demander les clés à la mairie.

Pour découvrir ce site effectuez le circuit de l’Héritage Médiéval ou téléchargez le dépliant

Le logis seigneurial à Glos-sur-Risle

Patrimoine de nos communesSituée à côté de l’église de Glos-sur-Risle, cette maison est un des rares vestiges civils de l’époque romane. Ce manoir du XIIème siècle et le pigeonnier qui l’accompagne, sont tous deux classés Monuments Historiques.

Pour découvrir ce site effectuez le circuit de l’Héritage Médiéval ou téléchargez le dépliant

La Baronnie, résidence des évêques d’Avranches à Saint-Philbert-sur-Risle

Patrimoine de nos communes Baronnie Saint-philbert1©AsOTVR

Identique à son origine, l’enceinte de l’actuelle Baronnie s’étend sur environ 1,5 hectares. L’enclos est ceint de quatre tours cylindriques à chaque angle, dont trois sont relativement bien conservées. Érigée en manoir épiscopal dès le XIème siècle, la Baronnie fût habitée par les évêques d’Avranches qui utilisaient le manoir comme relais lors de leurs différentes pérégrinations les menant d’Avranches à Rouen.

Pour découvrir ce site effectuez le circuit de l’Héritage Médiéval ou téléchargez le dépliant

 

Découvrir Le Marais-Vernier & Quillebeuf-sur-Seine

Le phare de Quillebeuf-sur-Seine

“Jusqu’au début du 19ème siècle la navigation sur la Seine était impossible la nuit et le passage de Quillebeuf était réputé pour être l’un des plus dangereux.

La Chambre de Commerce de Rouen sollicita la création d’un fanal à Quillebeuf en janvier 1807 et par décret impérial daté d’Anvers (à cette époque département français) du 3 mai 1810 cette création fut autorisée. Il avait été reconnu que ce feu allumé la nuit aux heures de la marée rendrait les plus grands services aux pilotes et lamaneurs.

Une première estimation pour la construction du fanal en fer avec son vitrage et son réverbère s’éleva à 7.000 francs et pour son entretien, l’huile de colza et les mèches à fournir à 3.500 francs par an. Le préfet Rollin écrivit le 9 juin à la Chambre de Commerce pour l’inviter à procéder à l’exécution du décret du 3 mai 1810. L’ingénieur en chef du département Monsieur Le Masson fut chargé de rédiger un devis estimatif pour la construction du fanal. Le système d’éclairage du fanal et sa réalisation seraient confiés à Messieurs Eyriés du Havre, entrepreneurs généraux de l’illumination des phares et fanaux.

Le phare d’Honfleur construit en 1809 fut pris comme modèle. Le devis se monta à 5.956 francs pour la tour y compris le fanal et le rechange de trois lampes plus 531 francs pour les honoraires de l’architecte. En décembre 1814 il fut construit à l’angle du quai, à proximité de l’église (un peu en aval de l’écluse et du canal de Saint Aubin actuels) mais les vitrages n’étaient toujours pas posés. Les travaux durèrent encore deux ans et ce n’est que le 17 janvier 1817 que le fanal fut éclairé. C’était un feu fixe dont l’élévation au-dessus des plus basses mers était de huit mètres et sa portée de 3 lieues marines (environ 15 km). En 1838 le dispositif fut complété par la construction de deux nouveaux phares, l’un au Mesnil sous Lillebonne à l’embouchure de la rivière de Bolbec éteint en 1854 et l’autre  au Gros Heurt en amont de la pointe de Quillebeuf (sur le haut de la falaise rue du Moulin) et éteint quand le nouveau phare fut construit en 1862 à l’emplacement que nous connaissons actuellement.

C’est une tour en maçonnerie de dix mètres de hauteur, qui fut modifiée en 1905 et équipée d’un feu scintillant vert d’une portée de 15 km.  Le phare de Quillebeuf a été récemment classé Monument Historique.”

source : Jacques Langlois

 

 

Le Phare de La Roque

Phare de la Roque

Ce phare a été installé au bord de la falaise pour guider les navires remontant vers Quillebeuf, Caudebec et Rouen.

 

 

Les maisons à pans de bois classées à Quillebeuf-sur-Seine

La Maison Royale ou Maison Henri IV (1611)

 

Quillebeuf sur Seine, ancien fief des pilotes de Seine a vu sa rue principale s’embourgeoiser grâce à l’activité des marins. En témoignent les maisons suivantes inscrites à l’Inventaire des Monuments Historiques entre 1933 et 1948 dans la rue principale  aux numéros 10, 32, 78, 82 et 30.

 

L’église de Quillebeuf-sur-Seine

L’église Notre Dame de Bon Port est mentionnée dès 932 dans une charte du duc Guillaume Longue Epée.  Reconstruite en style roman au XIIe siècle, elle dépendait de l’abbaye de Jumièges. Au XVe et XVIIe siècle, le chevet de l’église fut reconstruit en style gothique. Elle jouait un rôle important auprès des marins et de leurs familles, comme en témoigne son nom.

Graffitis, trace du passage des marins à Quillebeuf

graffiti

Les graffitis de Quillebeuf sont réputés et racontent tous une histoire. Il existe de nombreux graffitis dans l’église . Certains ont été recensés, d’autres ont été recouverts, et d’autres encore ne sont peut-être pas connus.

Ces graffitis ont été gravés par des marins en attente. Ils se réfugiaient dans l’église en attendant que les tempêtes passent avant de poursuivre leurs routes quand les éléments le permettaient.

Téléchargez ici le dépliant sur l’Eglise Notre Dame de Bon Port

Découvrir Pont-Audemer & ses villages

La chapelle Saint-Nicolas de Bonnebos à Manneville-sur-Risle

En 1670, Nicolas Lefort réunit en un seul fief plusieurs domaines de la paroisse de Manneville-sur-Risle. Ce fief comprenant des moulins sur la Risle et des terres fut nommé Bonnebos-Manneville. La construction du château fut certainement concomitante de cette opération de remembrement. Situé au cœur du domaine seigneurial, il marquait l’importance de la famille Lefort. Selon la tradition classique, le logis était précédé de deux pavillons marquant l’entrée du château. Le premier était un colombier, le deuxième construit en 1674 fut la chapelle du château. L’ensemble était accompagné de communs et d’édifices agricoles construits au 17e et 18e siècles.
Le château fut détruit vers 1835. Le site garde toutefois la disposition du domaine avec une entrée monumentale flanquée du colombier et de la chapelle. Celle-ci elle est dédicacée à Saint Nicolas en 1688 (en référence au seigneur Nicolas Lefort). Nicolas Lefort et sa femme Guillemette Jourdan y furent enterrés à leur mort ; probablement à cette occasion un groupe sculpté les représentant en prière fut placé à l’intérieur de l’édifice en 1694.
La chapelle fut une symbole de la richesse des Lefort qui apposèrent leurs armoiries sur la lucarne (de gueule au chevron d’or avec trois croissants d’argent). De plan centré, l’édifice est couronné par un superbe dôme en ardoises avec lanternon. Son chœur polygonal et son avant-corps, précédé d’un portique avec colonnes et fronton, ont été ajoutés vers 1694. A l’intérieur de la chapelle, de magnifiques statues de priants agenouillés ont été préservées. Le 30 octobre 1958, la chapelle fut classée au titre des Monuments historiques.
En 1979, la chapelle fut convertie en musée de la Résistance et de la Déportation. Elle conserve depuis une collection d’objets et de documents témoignant de la période de la Seconde guerre mondiale, et plus particulièrement de l’histoire du maquis Surcouf, réseau de résistance de la région.

Le Pont Napoléon à Corneville-sur-Risle

Le Pont Napoléon, au lieu-dit la Fosse, a été inscrit en tant que monument historique le 31 octobre 2007.
Sur les communes de Corneville et Manneville, le cours de la Risle se divise en deux bras pour former une vaste île de 120 hectares. Jusqu’au milieu du XIXe siècle, seul un gué en aval du moulin des Fosses permettait d’accéder aux herbages de cette île. Afin d’en faciliter l’accès, des propriétaires des terrains insulaires lancèrent une souscription en 1857 pour financer l’édification d’un pont. Soutenu par la commune de Corneville, un projet pour un ouvrage à deux arches est dessiné en 1859 par un agent voyer. Sa construction aurait été achevée en 1867, en même temps que la réalisation du chemin vicinal pour sa desserte. Construit en maçonnerie de briques, le pont se compose de deux arches de 5,30m de portée, reposant sur une pile centrale à bec et sur deux culées. Totalisant 17m de longueur pour 3,65m de largeur entre les parapets, ce pont est caractéristique des petits ouvrages d’art réalisés sous le Second Empire par les Services des Pont et Chaussées. Au niveau de la pile centrale, les écoinçons sont ornés d’un N dans un médaillon en pierre de taille, en référence à l’empereur Napoléon III. L’ouvrage a fait l’objet de restaurations et de consolidations récentes en 1998 et 2004.
Le Pont Napoléon bénéficie du cadre très préservé de la vallée de la Risle. L’environnement champêtre composé de prairies et d’arbres en bosquets ou en alignements mérite d’être conservé
au même titre que l’architecture traditionnelle, à pans de bois.

Vous pourrez admirer ce pont en effectuant le circuit de randonnée “Le chemin du pont Napoléon” (9 km)

L’église romane de Saint-Germain-Village

Patrimoine de nos communes L'église Saint-Germain à Pont-Audemer

Classée à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques le 12 juillet 1886, l’église de Saint-Germain-Village est considérée comme l’une des plus belles églises romanes de Normandie. En effet, elle constitue l’un des rares vestiges de l’expression de l’architecture monastique de l’époque de Guillaume le Conquérant dans l’Eure. Cette église imposante et sobre aurait vu le jour grâce aux bénédictins de l’abbaye voisine de Saint-Pierre de Préaux qui en possédaient le patronage depuis leur fondation vers 1035.
Des éléments romans de la nef ont été réutilisés dans la façade occidentale quand l’édifice a été réduit sous la Restauration puis, dans les années 1900 quand l’église a été remaniée, d’autres éléments, issus de la porte de l’église disparue de Notre-Dame-du-Pré à Pont-Audemer, ont été intégrés.
Son vaste transept, dont la croisée supporte la tour carrée, sa nef à collatéraux austère dotée d’arcade très simples, correspondent au dernier quart du XIe siècle. Quant à la partie orientale, elle daterait des années 1100.
Le dépouillement de l’extérieur, faisant écho à celui de l’intérieur, est adouci par la présence d’un décor roman du XIIe siècle sous la corniche sculptée en damier faisant apparaître des modillons sculptés représentant des têtes d’animaux, des masques ou des personnages.

L’église Saint-Ouen de Pont-Audemer

Patrimoine de nos communes L'église Saint-Ouen à Pont-Audemer

L’imposante église Saint-Ouen de Pont-Audemer, bien que demeurée inachevée, s’inscrit au premier rang des monuments de l’architecture flamboyante normande.
Vous pourrez admirer dans cette église gothique inachevée du XVIème siècle, 13 chapelles latérales, des vitraux remarquables des XVème, XVIème et XXème siècles, un buffet d’orgue XVIIème et une tribune ornée de panneaux sculptés.
Découvrez l’histoire et les richesses de cette église en visitant la page qui lui est consacrée.

Autres églises remarquables

Fondée au XIème siècle, l’église de Montfort-sur-Risle possède du mobilier classé. Son clocher est d’époque pré-gothique.

L’église de Saint-Philbert-sur-Risle est une ancienne collégiale. On peut y admirer une fresque du XVème siècle classée.

À Brestot et à Touville-sur-Montfort, on peut admirer des églises d’époque romane.

L’église d’Illeville-sur-Montfort a partiellement été construite avec les pierres de parement du château médiéval de Montfort-sur-Risle.

À Écaquelon l’église a été édifiée sur le lieu d’une motte féodale.

L’église de Condé-sur-Risle est composée d’une nef du XIème ou XIIème siècle et d’un choeur reconstruit au XVIIIème siècle, à la suite de l’écroulement du clocher roman en 1765.

La commune d’Appeville-Annebault possède une église néo-gothique du XVIIème siècle.

À côté de Pont-Audemer, ne manquez pas de découvrir l‘église de Campigny et son clocher campanile qui rappelle l’Italie. D’ailleurs, dans la vallée en contrebas s’écoule la Véronne…

Quant à l’église de Corneville-sur-Risle, quelques éléments évoquent l’époque romane (portail et tourelle) et monastique (portail d’entrée vers l’ancienne église abbatiale disparue).

À Fourmetot, l’église Notre Dame qui date de la fin du XIIème, offre un mélange de roman et de gothique (tour romane). Ce furent les Ducs de Normandie, et ensuite les Rois de France, qui eurent le patronage de l’église de Fourmetot.

A Rougemontiers, l’église Saint-Martin fut donnée en 1178 à l’abbaye du Bec, du XIIe siècle pour ses parties les plus anciennes (bases des contreforts de la façade occidentale et une partie de la tour). Le portail fut édifié au XIVe siècle, le chœur au XVe siècle, la nef au XVIIe siècle et la sacristie en 1729.

A Routot , l’église Saint-Ouen (XIIe, XVe et XIXe), construite entre 1125 et 1175 environ. Les deux travées occidentales de la nef ainsi que la baie du chevet datent du XVe siècle. Au XIXe siècle, la chapelle nord a été édifiée et la façade occidentale remaniée. Le classement au titre des monuments historiques concerne le clocher.

A saint Thurien ,  l’église Saint-Thurien date des XVIe et XVIIIe.

A Saint Samson de la Roque, l’église Saint-Samson (XVIIIe, XIXe et XXe). Une partie − murs ouest de la nef et tour clocher − date de 1877 et sont de l’architecte Perrée. On y trouve un toit à longs pans ainsi qu’une flèche polygonale. Une partie de ses matériaux de construction proviendrait de l’abbaye de Pental , aujourd’hui détruite. en 550 fut fondée Ie siècle fut construite, par Saint-Samson, l’abbaye de Pental sur un promontoire qui domine la Seine, aujourd’hui terres de la commune de Saint-Samson-de-la-Roque. En 1922, des fouilles archéologiques ont mis à jour la porte du monastère, son dallage et un cimetière mérovingien d’une dizaine de sarcophages, d’orientation chrétienne.

A Bouquelon, l’église Saint Ouen présente une nef de la fin du XIème siècle, terminée par un simple portail orné de deux rangs de claveaux. Les fenètres ont été percées du XIVème au XIXème siècles. Le choeur et la tour sont du XIIème. Belle piscine à double arcade de la fin du XIIIème